La mise au point des différentes parties du détecteur, sa calibration et l’amélioration de sa sensibilité ont permis durant ces derniers mois d’atteindre une configuration de l’interféromètre Advanced Virgo capable de détecter des collisions d’étoiles à neutrons jusqu’à une distance d’environ 27 Mpc (environ 88 millions d’années-lumière), donc de pouvoir participer à la prise de données O2 commencée en janvier 2017 par les détecteurs américains Advanced LIGO. Il y aura sans doute des détections d’onde gravitationnelle à la clé...
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