L’analyse détaillée des dernières données recueillies, publiée dans Nature ce 16 mars, permet aujourd’hui de découvrir l’origine d’une grande part de ce rayonnement cosmique : le trou noir super-massif situé au centre de notre Galaxie, qui accélèrerait des rayons cosmiques jusqu’à des énergies 100 fois plus élevées que celles atteintes par le plus grand accélérateur construit par l’homme, le LHC au CERN.
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Vue d’artiste des nuages moléculaires géants entourant le centre de la Galaxie. © Dr Mark A. Garlick/ HESS Collaboration
Contact : Gilles Maurin
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Lire l’article publié dans la revue Nature